Etude de la femelle russe par le docteur Pauline
La femelle russe est un animal au sang froid, dotée des caractéristiques de plusieurs volatiles. Elle emprunte à la pie le fait de courtiser ce qui brille, à l’autruche les pattes élancées, et parfois au perroquet ses couleurs vives. Cependant, il semble y avoir plusieurs étapes dans la vie d’une femelle russe, puisque celle-ci commence sa vie en papillon, gracieuse, d’une beauté surprenante, et flamboyante, avant de devenir chenille, ronde et entourée de son cocon de draps et de foulards. La jeune russe est froide est distante, beauté inaccessible, physiquement intelligente, tandis que la russe âgée regrette sa beauté passée.
La nature, dans sa création de la femme russe, a su faire preuve de justice puisque, si les jolies femmes restent très minces en se nourrissant de pommes de terres et de bière, les kilos semblent arriver plus tard. Ainsi ne doivent-elles pas laisser passer l’âge de la reproduction, au risque de ne plus pouvoir trouver de mâle pour les entretenir. Dans les qualités qu’elles recherchent en leur protecteur, on peut dire que le physique n’a pas grande importance. Les chaînes en or, les voitures luxieuses, et les téléphones nouvelle génération semblent être des arguments plus pertinents.
Leurs arguments pour tomber le mêle sont situés au niveau de leurs vêtements. Les jupes se portent très courtes (à moins que ce ne soit les jambes qui sont trop longues ?) et les talons aiguilles très hauts. Les chaussures russes sont particulièrement intéressantes du fait de leur laideur, colorées et surchargées à souhait. Le maquillage lui aussi est souvent utilisé de manière excessive, virant parfois au camouflage.
En définitive, les femelles russes sont bien souvent très agréables à regarder, mais bien plus difficiles à aborder. Toutes ne sont pourtant pas « belles » puisque le plus grand nombre se contente d’être « bonnes ». N’y voyez là aucune jalousie de la part d’une française, petite et brune, mais bien l’avis d’un expert averti !
Pour vous prouver ma bonne foie, je vous ai fait une petite sélection de quelques jolis spécimens, afin que vous vous fassiez votre opinion.
La nature, dans sa création de la femme russe, a su faire preuve de justice puisque, si les jolies femmes restent très minces en se nourrissant de pommes de terres et de bière, les kilos semblent arriver plus tard. Ainsi ne doivent-elles pas laisser passer l’âge de la reproduction, au risque de ne plus pouvoir trouver de mâle pour les entretenir. Dans les qualités qu’elles recherchent en leur protecteur, on peut dire que le physique n’a pas grande importance. Les chaînes en or, les voitures luxieuses, et les téléphones nouvelle génération semblent être des arguments plus pertinents.
Leurs arguments pour tomber le mêle sont situés au niveau de leurs vêtements. Les jupes se portent très courtes (à moins que ce ne soit les jambes qui sont trop longues ?) et les talons aiguilles très hauts. Les chaussures russes sont particulièrement intéressantes du fait de leur laideur, colorées et surchargées à souhait. Le maquillage lui aussi est souvent utilisé de manière excessive, virant parfois au camouflage.
En définitive, les femelles russes sont bien souvent très agréables à regarder, mais bien plus difficiles à aborder. Toutes ne sont pourtant pas « belles » puisque le plus grand nombre se contente d’être « bonnes ». N’y voyez là aucune jalousie de la part d’une française, petite et brune, mais bien l’avis d’un expert averti !
Pour vous prouver ma bonne foie, je vous ai fait une petite sélection de quelques jolis spécimens, afin que vous vous fassiez votre opinion.